ÇA SENT LA COUPE - 3, 7 ET 8 JUIN 19 h 30

Max, 35 ans, partage son temps entre le salon de son petit appartement, dans lequel il regarde tous les matchs du Canadien avec ses amis, et la boutique de cartes de hockey dont il a hérité de son père et qu’il gère avec passion. Quand sa conjointe Julie décide de rompre soudainement avec lui, Max est forcé de réévaluer sa vie. Entre le premier match de la saison des Canadiens et le tout dernier, Max tentera de reconquérir Julie et devra gérer le retour en ville de sa soeur, en exil depuis la mort de leurs parents. L’amour du hockey et l’amour tout court ; Max devra faire la part des choses...

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LA FEMME DU GARDIEN DE ZOO - 17, 21 ET 22 JUIN 19 h 30

Jan Zabinski et son épouse Antonina s’occupent du zoo de Varsovie en Pologne. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, ils sont incapables de quitter le pays. Même s’ils ont perdu la majorité de leurs animaux, le couple continue à prendre soin de cet endroit qui abritera les bêtes du zoologiste allemand Lutz Heck. Le jour, Jan parcourt le ghetto, nettoyant ses déchets en dissimulant des Juifs dans son camion. Cette population rescapée peut ainsi se cacher au sous-sol de la demeure des Zabinski. C’est Antonina qui garde le fort en l’absence de son mari et elle usera de nombreux stratagèmes afin de ne pas attirer l’attention sur ses invités.

Programmation complète du Centre Socioculturel Gérard-Ouellet disponible sur www.centresgo.com. Claire Wingen

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Exposition

Helga Schlitter vous offre MIROITEMENTS au Centre Socioculturel Gérard-Ouellet

Cette exposition présentée dans le Grand foyer se poursuit jusqu’au 27 juin 2017.

Nathalie Hivon, artiste contemporaine de Saint-Roch-des-Aulnaies

Elle vous invite au vernissage de son exposition « RACINES » le 30 juin à 17 h au Centre Socioculturel Gérard-Ouellet de Saint-Jean-Port-Joli. L’exposition se tiendra du 30 juin au 8 août. RACINES, c’est une quinzaine de peintures et sculptures où l’artiste souhaite présenter son attachement à la forêt. Un univers non seulement fascinant, mais où il reste tant à découvrir. Un lieu où l’on ne voit qu’une infime partie de tout ce qui y vit. Issue d’une famille nombreuse, profondément attachée à ses racines, elle puise son inspiration dans les nombreux souvenirs vécus sur les terres à bois familial. Un parallèle entre les liens racinaires des arbres et les liens entre les membres d’une famille. Parfois solidaires, parfois chargés d’adversité, souvent discrets, les membres d’une communauté s’unissent au même titre que la forêt compte sur tout ce qui l’habite, pour lui permettre d’évoluer. Peindre la forêt pour rendre hommage à ses grands arbres et tout ce qui y habite.