Avec octobre, nous entamons la dernière saison qui nous mène aux portes de 2026.
Dans la parution du mois de septembre, vous avez peut-être constaté une diminution du nombre d’articles publiés. Cela nous a aussi questionné. Est-ce que la période des vacances estivales peut expliquer cette diminution ?

Au cours des trois dernières années, la moyenne du nombre de pages du journal pour le mois de septembre a été de 40, comparativement à 32 pages pour septembre dernier. Cependant, cela pourrait être dû à un décalage dans le temps, car toujours selon les données des trois dernières années, cette moyenne est de 34 pages pour le numéro d’août, dont deux années sur trois qui comptent 32 pages.

Pour les mois à venir, n’hésitez pas à nous fournir des textes sur des sujets qui vous intéressent. Nous savons que certains d’entre vous aiment écrire ; la preuve en est les ateliers d’écriture qui ont démarré le 11 septembre dernier dans les locaux de la bibliothèque Charles-et-Harpe à Saint-Aubert. Vous avez l’opportunité, avec votre journal L’Attisée, de partager vos textes avec notre lectorat. Notre équipe apprécierait recevoir vos textes pour publication dans le journal. Cela pourrait inciter d’autres personnes à joindre ces ateliers et à publier leurs textes dans L’Attisée.

Parlant d’écriture et de textes, l’équipe du journal a revu sa politique éditoriale. Afin de ne pas augmenter les frais d’impression indûment, la longueur des textes devrait normalement être comprise entre 350 et 500 mots. Exceptionnellement, des textes de plus de 500 mots pourront être publiés lorsque l’information présentée le justifie. Par ailleurs, à titre d’exemple, un texte de 1000 mots pourrait être scindé et publié dans deux numéros successifs du journal. Ainsi, il sera toujours possible de publier des textes dépassant les 500 mots.

L’automne, c’est aussi le moment pour le journal de revoir sa tarification publicitaire. Nous avisons nos précieux annonceurs que de nouveaux tarifs seront en vigueur à partir de janvier 2026. Au moment d’écrire ces lignes, ceux-ci n’ont pas encore été établis ; ils seront dévoilés dans le numéro de décembre 2025.

En terminant, j’aimerais corriger une omission dont je suis responsable en lien avec la parution de L’Attisée du mois d’août dernier. Ce numéro constituait notre 500e édition de L’Attisée, ce qui représente plus de 41 années de publication ininterrompue du journal. Tenant à me rattraper, je veux remercier tous ceux et celles qui, au cours de ces années, ont œuvré au sein de L’Attisée, ainsi que nos annonceurs, sans oublier nos membres, qui en ont fait un outil de communication apprécié.